Enquête : A quoi ressemble le paradis ?

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Article source:inrees.com

L’anthropologue Michael Harner a collecté plus de 2500 récits de voyages chamaniques dans le monde d’en haut. Dans « Caverne et Cosmos », il en rapporte les similitudes. Que peut-on en apprendre ?

Nous avons tous entendu parler d’un royaume situé au-delà des nuages, peuplé d’âmes défuntes et d’êtres spirituels. Un lieu idyllique bercé de douceur, d’amour, de lumière Fariboles éculées, gentilles allégories, ou récit authentique d’un monde non-matériel ? 

Anthropologue mondialement reconnu, Michael Harner a consacré sa vie à l’étude et à la pratique du chamanisme. Dans le cadre de sa fondation, il a initié des milliers d’occidentaux aux techniques du voyage chamanique dans les mondes d’en bas, « celui qui se situe en dessous de nous », d’en haut, « au-dessus de nous », et du milieu, « où nous vivons ». Tous expérimentent-ils la même chose ? Pour le savoir, Michael Harner a collecté plus de 2500 récits d’ascensions entreprises au son du tambour, sans l’aide de substances psychotropes, par des personnes qui n’en avaient généralement jamais fait l’expérience, et qui n’avaient reçu aucune information sur ce qui les attendait. 

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Mise à jour Paranormal à la unele :03/06/2014 à :12h15.

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Un maître guéri par son chat depuis l’au-delà ?

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Article source:jack35.wordpress.com/

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Dans son « Dictionnaire de l’impossible », Didier van Cauwelaert présente une série de cas extraordinaires à priori impossibles, mais authentifiés. Le premier cas : un chat serait intervenu de l’au-delà pour aider son maître gangréné à guérir et sauver sa jambe. Plutôt étonnant, non ?

C’était un jour de fête du Livre, à la fin des années 1990, dans les salons de la Mairie de Paris. Comme les mots de ce dictionnaire, les auteurs étaient disposés en enfilade au gré de l’alphabet, disparates et complémentaires, les plus connus permettant indirectement de découvrir les moins sollicités, devant lesquels stagnaient les files d’attente.

J’avais repéré depuis quelques minutes un petit monsieur entre deux âges qui, en retrait de mon stand, attendait une accalmie dans mes dédicaces. Il tenait sous le bras un énorme dossier vert, et je m’attendais au pire. Chaque Salon du livre nous réserve son lot d’admirateurs qui viennent nous soumettre un manuscrit. N’étant pas éditeur, je me promets toujours de répondre non merci, et je repars souvent avec un excédent de bagages, parce que j’ai nourri moi aussi, jadis, l’espoir illusoire que mon destin littéraire dépendrait de mes auteurs favoris.
Profitant d’un moment de répit où je rechargeais mon stylo, le monsieur au dossier vert s’avança vers ma table et attaqua d’une traite :
– Pardon, mais je vous ai lu, alors je sais que je peux vous raconter ce qui m’est arrivé.

Condensé à l’extrême, son récit dura tout au plus trois minutes. Ayant grimpé dans un arbre pour cueillir des cerises, un an plus tôt, il était tombé en brisant une branche qui lui avait ouvert la jambe gauche. Mal soignée, la plaie s’était infectée, et la gangrène s’y était mise. Lorsqu’il avait fini par se rendre à l’hôpital, c’était trop tard : la seule chance de le sauver était l’amputation. La veille du jour fixé par le chirurgien, il était descendu dans la rue avec sa canne pour, une dernière fois, « emmener promener sa jambe », disait-il avec cette douceur résignée des gens simples face à l’irrémédiable.
C’est là qu’il croisa une dame inconnue qui sursauta, à sa hauteur, sans s’arrêter. Machinalement, il tourna la tête après quelques instants. Elle s’était figée sur le trottoir et le fixait, l’air en suspens, aussi étonnée que lui. Semblant dominer une hésitation, un vrai trouble, elle revint soudain vers lui.
– Pardon, monsieur, mais on me dit de vous demander une chose. Vous avez un souci à la jambe, non ?
Il répondit par un pauvre sourire. Avec sa canne et sa guibole gonflée sous le bandage, pas besoin d’être extralucide pour en arriver à cette conclusion. Elle enchaîna :
– Vous avez un chat ? Parce que c’est à lui qu’il faut demander. Excusez-moi.
Et elle tourna les talons en rougissant, avec autant de précipitation que si on l’avait surprise en train d’écouter aux portes. Comme si elle avait honte de ce qu’elle s’était entendue dire, précisa mon lecteur.

Il était resté un moment immobile sur le trottoir, sonné par cette rencontre. Il avait un chat, oui, mais qui était mort six mois auparavant. Quel rapport, de toute manière ? Cette femme était dérangée, voilà tout. Et il avait d’autres problèmes en tête.
Néanmoins, rentré chez lui, il ne parvint pas à chasser de son esprit la dernière phrase de l’inconnue. Pourquoi ces mots, pourquoi cette émotion qui lui nouait le ventre ? Il ne croyait pas à grand-chose, à l’époque, surtout pas aux gens désintéressés. Ni à un au-delà quelconque. Dans le canapé où il s’était affalé, il ne voyait vraiment pas quel genre de soutien il pouvait attendre du siamois qu’il avait enterré dans son jardinet de banlieue.
Ses doigts rencontrèrent des poils sur les coussins de velours. Tout ce qui restait de Mozart, son compagnon de treize années. Alors il y eut en lui une espèce de sursaut. Qu’avait-il à perdre, après tout ? Il s’arracha du canapé, alla mettre un sac neuf dans son aspirateur, le passa sur les coussins, puis retira le sac pour récupérer les poils. Avec un soin dérisoire, il les étala sur la plaie de sa jambe, et il refit le pansement tandis qu’il demandait de l’aide au siamois, s’abandonnant à ce dernier espoir irraisonné.

Le lendemain matin, une odeur épouvantable le réveilla. Bien pire encore que celle que dégageaient d’habitude ses chairs en décomposition. Il retira le bandage et jeta le cataplasme de poils félins où s’était concentré la puanteur. C’est alors qu’il découvrit, médusé, que sa peau avait changé de couleur. Les bords de la plaie semblaient rosir.
Arrivé à l’hôpital, il demanda qu’on réexamine sa jambe avant de la couper. Il insista tant et si bien qu’il obtint gain de cause. Le dossier vert qu’il m’avait apporté ce jour-là rassemblait cent pages de rapports médicaux, d’analyses, de témoignages de spécialistes confirmant, sur papier à en-tête, les diagnostics avant et après ce que le patient appelait « l’intervention de Mozart ». Les praticiens étaient formels : la gangrène dûment constatée avait « guéri » de manière inexplicable, et les chairs se reformaient plus vite que de raison.

Quand je relevai les yeux du dossier médical, je vis un noyau de lecteurs qui s’était formé autour du petit monsieur. Mes livres au bout de leurs bras ballants, ils me tournaient le dos, admirant sa jambe gauche aux cicatrices des plus discrètes sous le pantalon qu’il venait de retrousser. Une dame reposa mon roman pour me prendre des mains le dossier vert.
Quelques instants plus tard, le miraculé des poils de Mozart s’en alla, emportant mes lecteurs qui se disputaient ses pièces à conviction.

Que penser de ce récit ? La guérison était-elle due à l’action posthume d’un siamois via ce qui restait de sa matière physique, ou bien du fait que son maître s’était – pour reprendre son terme – abandonné à ce dernier espoir ? Cette « victoire par abandon », ce lâcher-prise sous-tendu par l’espoir, on en retrouvera l’hypothèse dans plusieurs cas de guérisons inexpliquées, passés au crible de ce dictionnaire. Mais comment interpréter le rôle de l’inconnue sur le trottoir ? Ce « renfort » destiné à attirer l’attention, par des paroles semblant surprendre autant celle qui les prononce que celui qui les entend.
Faut-il y voir, pour paraphraser Pirandello et ses « personnages en quête d’auteur », un message en quête d’intermédiaire – en l’occurrence, la première personne « réceptive » croisée en chemin par le gangréné, vu l’urgence de la situation ? Je n’ai pas de réponse. Mais ce genre de question reviendra souvent dans les pages qui suivent.

Aujourd’hui encore, je me demande pourquoi cet homme avait éprouvé le besoin de me confier son histoire. Il allait très bien, les médecins avaient validé son miracle, il ne m’avait pas demandé mon avis ni mon aide, encore moins la médiatisation de son cas sous ma signature. Il n’avait pas besoin de moi, en fait. Il était reparti avec mon public, sans même me dire au revoir.

Quelques mois plus tard, je souffris brusquement d’une sigmoïdite aiguë, provoquant abcès intestinal et douleurs insoutenables. Ayant refusé l’opération à chaud qui aurait eu les conséquences qu’on imagine, je luttai toute une nuit contre la menace de la péritonite, avec autant de force mentale que de lâcher prise, m’abandonnant à la certitude que j’avais trop à faire pour mourir. Face à l’échec des antibiotiques sous perfusion, je ne manquai pas, dans la mobilisation générale de tous les moyens empiriques à ma disposition – prières, mantras, techniques de souffle et de visualisation –, de demander, au cas où, l’assistance de Célestine et Chapy, mes deux chattes défuntes.

Le lendemain matin, l’infection avait régressé de manière spectaculaire. Mes analyses étaient quasi normales. « Je ne sais pas comment, mais vous avez gagné : je range mes instruments », m’a déclaré, avec un sourire que je n’oublierai jamais, mon jeune chirurgien, le Dr Jean-Philippe Blanche.
Avec le recul, je me suis dit que l’homme au dossier vert de l’Hôtel de Ville avait, peut-être, tenu auprès de moi le rôle qu’avait joué dans son destin une inconnue croisée sur un trottoir.

(Source : INREES)

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Mise à jour Paranormal à la une , le : 10/12/2013 à : 10h20.

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Le mystère des cercles de fées expliqué par une nouvelle théorie

Article source: maxisciences.com/

Publié par Émeline Ferard, le 06 septembre 2013

cercles de fées maxisciences. Copyright © Gentside Découvertes (crédits photo : Norbert Jürgens) En savoir plus: http://www.maxisciences.com/cercle-de-f%e9es/le-mystere-des-cercles-de-fees-explique-par-une-nouvelle-theorie_art30698.html  Gentside Découvertes

cercles de fées
maxisciences.
Copyright © Gentside Découvertes
(crédits photo : Norbert Jürgens)Gentside Découvertes

Une équipe de chercheurs internationale a développé une nouvelle théorie pour expliquer le mystère des »cercles de fées », ces formes circulaires qui apparaissent sur le sol des déserts africains. Ils seraient dus à une compétition aux ressources entre les plantes.Le mystère des »cercles de fées »n’est visiblement pas totalement élucidé. En mars dernier, des chercheurs avaient annoncé avoir trouvé l’origine de ces cercles intrigants qui apparaissent sur le sol des déserts africains, notamment en Namibie. Ces disques circulaires mesurent généralement plus de 2 m de diamètre mais leur surface, stérile, est cernée par une étonnante couronne de végétation(à partir de 0’30 sur la vidéo). Grâce à leurs travaux, les scientifiques avaient découvert que ces formations pouvaient être dues à des termites de sable. Mais cette hypothèse est visiblement loin de convaincre tous les spécialistes puisque aujourd’hui, une nouvelle théorie a vu le jour. D’après une étude publiée dans la revue PLoS ONE, les cercles de fées seraient plutôt liés à la féroce compétition à laquelle se livrent les plantes pour accéder aux ressources. C’est une équipe dirigée par Michael Cramer de l’Université du Cap en Afrique du Sud qui est arrivée à cette conclusion en réalisant de nouvelles analyses sur les fameux cercles, convaincue que les termites n’étaient pas les principales responsables. « Je pense que le principal obstacle que ces explications doivent surmonter est de trouver l’origine de l’espacement régulier des cercles, de leur circularité approximative et de leur taille », a déclaré Michael Cramer à LiveScience. « Il n’existe pas de raison réelle pour laquelle des termites produiraient des cercles aussi larges et aussi uniformément espacés », a t-il ajouté. De plus, la longévité de ces cercles a également de quoi étonner puisque les petits peuvent rester là durant plus de 20 ans et les grands jusqu’à 75 ans.  Une répartition liée aux ressources disponibles Parmi les hypothèses évoquées ces dernières années, certaines chercheurs avaient estimé que ces formations pouvaient être dues à un mode d’organisation des plantes. Une théorie que le biologiste et sa collègue Nichole Barger de l’université du Colorado trouvaient plus convaincante, c’est pourquoi ils ont décidé de la tester. Pour cela, les chercheurs ont mesuré la taille, la densité des cercles de fées ainsi que la surface qu’ils occupent en Namibie. Puis ils ont collecté des échantillons de sol à différentes profondeurs à l’intérieur et en dehors des cercles. Ils ont alors analysé ces derniers en se concentrant sur la quantité de nutriments et d’eau contenue dans chaque. Enfin, ils ont inséré les résultats obtenus ainsi que des données climatiques sur le taux de précipitation et les températures notamment, dans des modèles informatiques. »Nous avons trouvé que la taille des cercles, leur densité et le degré auquel ils occupaient le paysage étaient tous associés à la quantité de ressources disponibles »,a indiqué Cramer.   En particulier, les chercheurs ont observé que les cercles de fées étaient plus petits s’il y avait plus de ressources tels que de l’azote dans le sol ou de la pluie. Ils ont également constaté que les pluies avaient un impact important sur la distribution des cercles : ceux-ci n’apparaissaient que dans les zones où il y avait juste le bon apport de pluie(ni pas assez, ni trop). Ces résultats ont ainsi permis aux scientifiques de conclure qu’une compétition entre les plantes pouvaient être responsables de ces formations. Des plantes qui provoquent la mort de leurs voisines Au départ, l’herbe pousse de façon homogène dans le désert namibien mais des pluies clairsemées et un sol pauvre en nutriments créent ensuite une féroce compétition entre les herbes. Les plantes fortes se mettent à absorber toute l’eau et les nutriments présents, causant irrémédiablement la mort de leurs voisines plus faibles et formant un trou stérile dans le paysage. Et plus la compétition se poursuit, plus le trou sans végétation s’étend. Il devient alors une sorte de réservoir d’eau et de nutriments pour les plantes qui se développent à la périphérie, donnant la forme caractéristique du cercle de fées. Selon le biologiste, les observations faites ont un sens puisque les herbes plus grandes n’auront pas besoin d’un réservoir important de ressources pour se développer et survivre si de l’eau et des nutriments sont déjà présents dans l’environnement. Les cercles seront donc plus petits. En revanche, l’herbe aura besoin d’un plus vaste réservoir si la quantité de ressources disponibles est faible, créant alors un plus grand cercle. Le fait que ces formations n’apparaissent que dans des zones au taux de pluies adéquat a également un sens, d’après Michael Cramer. En effet, s’il y avait trop de pluie, les ressources abondantes réduiraient la compétition et provoqueraient la disparition du cercle. Et s’il n’y en avait pas assez, la compétition deviendrait trop sérieuse et le cercle disparaitrait également avec la mort des plantes. Pour les mêmes raisons, les différences de précipitations d’une année à l’autre pourraient donc être à l’origine de l’apparition et la disparition des cercles au fil du temps. En prenant en compte toutes ces informations, les chercheurs ont réussi à prédire la distribution des cercles de fées avec une précision de 95%. Une théorie à développer Michael Cramer et ses collègues ne nient pourtant pas le rôle des termites. »Ce qui forme les cercles est la compétition entre les plantes. Les termites sont un phénomène secondaire, et leur rôle est de maintenir les cercles en tuant les herbes qui poussent au centre »,a t-il expliqué. Toutefois là encore, la théorie de la compétition entre plantes ne convainc pas tous les scientifiques. Yvette Naudé, une géochimiste de l’université de Pretoria en Afrique du Sud a indiqué qu’il était agréable d’entendre une théorie n’impliquant pas des insectes pour expliquer les cercles de fées. Mais « la façon dont une compétition pour les ressources entre des herbes peut induire une mortalité aussi abrupte et synchronisée sur une parcelle entière est incertaine », a expliqué la spécialiste à LiveScience. »La réponse au mystère des cercles de fées demeure ailleurs », a t-elle ainsi estimé.  D’autres scientifiques estiment cependant qu’on se rapproche de la solution. « C’est une très bonne théorie qui prend en compte toutes les caractéristiques des cercles de fées. Aucune autre cause proposée n’a fait cela auparavant », a fait remarquer Walter Tschinkel, biologiste de l’Université de Floride. Pour confirmer leur théorie, Michael Cramer et ses collègues entendent donc poursuivre leurs travaux en réalisant notamment des tests expérimentaux. (crédits photo : Norbert Jürgens)Source:

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Mise à jour sylv1 pour Area 51 Blog,le : 07/09/2013 à : 14h10.

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Le mystère des cercles de fées expliqué par une nouvelle théorie.

Brésil : un nourrisson ressuscite

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Article source: MSN

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Au Brésil, un nourrisson déclaré mort à sa naissance, a ressuscité trois heures plus tard dans son cercueil. Alors qu’il était sur l’autel de la chapelle de l’hôpital, prêt à être envoyé à la morgue, le bébé prénommé Yasmin Gomes s’est mis à respirer. C’est la grand-mère, en voyant le nourrisson ouvrir les yeux et bouger les jambes, qui s’est empressée d’appeler les médecins.

Un miracle ?

L’infirmière qui s’est occupée du bébé, confirme qu’il n’avait plus de pouls quand il a été placé dans le cercueil. « Je vous assure que ce bébé était mort. Je l’ai vu de mes propres yeux. Elle était bleue, complètement morte. »

Même son de cloche pour le médecin en charge de l’accouchement de la mère de Yasmin et qui a signé le certificat de décès. « Les gens peuvent faire leurs propres conclusions, mais seuls ceux qui étaient là savent ce qui s’est réellement passé. En 20 ans de médecine, je n’ai jamais vu ça. Elle n’avait plus de pouls, tous les instruments montraient qu’elle ne respirait plus. »

Une victoire

Les parents de Yasmin ont décidé, après que la « résurrection » du bébé, de le rebaptiser Victoria, qui signifie « victoire » en portugais.

Source

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Mise à jour Paranormal à la Une, le : 20/07/2013 à : 20h05.

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Tom C. Lethbridge – Le Pouvoir du Pendule – Le spectre de fréquence de la réalité, les autres dimensions, et la mémoire de l’eau

Tom C. Lethbridge – Le Pouvoir du Pendule – Le spectre de fréquence de la réalité, les autres dimensions, et la mémoire de l’eau

 

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Article source: newsoftomorrow.org 14 mars 2013 | Publié dans: Géobiologie.

Les recherches de T. C. Lethbridge sont extrêmement intéressantes. Vous trouverez une étude très approfondie sur ce blog. Par ailleurs, Laura Knight-Jadczyk a écrit dans l’Histoire secrète du Monde (p.390 sqq) :

« La Technologie de la Pierre et T.C. Lethbridge

Pour en revenir à nos pierres et à notre envie de savoir s’il existe l’une ou l’autre indication que celles-ci impliquaient une quelconque technologie, notons tout d’abord que l’archéologue T.C. Lethbridge ayant placé un jour une main sur une de ces pierres, éprouva une forte sensation de picotement, comme un choc électrique, et la grande et lourde pierre parut s’ébranler violemment.

De nombreuses autres personnes ont ressenti un choc lorsqu’elles ont placé leurs mains sur certaines pierres, et des photographies ont, à l’occasion, montré d’inexplicables rayonnements lumineux émanant de ces pierres.
L’examen montre que sur beaucoup de ces mégalithes sont gravés des “coupes et des anneaux”: des cercles concentriques et des “couloirs” ou sillons. La première impression devant ces dessins est qu’ils représentent des circuits imprimés tels qu’utilisés dans les ordinateurs.

Dans le mythe grec il est dit que les murs de Thèbes avaient été construits grâce à l’habileté d’un musicien nommé Amphion et au son de sa lyre. Il jouait de la lyre d’une manière telle que les pierres se déplaçaient.
Le mythe phénicien parle du dieu Ouranos qui faisait bouger les pierres comme si elles avaient une vie propre. Voilà l’une des nombreuses traditions dans le monde, selon laquelle différentes sortes de sons étaient utilisées pour faire lever et déplacer de grosses pierres.

Les pierres pourraient avoir une autre propriété intéressante qui mérite des recherches sérieuses. En 1982, Tafter, le propriétaire de la « Prince of Wales Inn » (Auberge du Prince de Galles) à Kenfig dans le Mid-Glamorgan, Pays de Galles, se plaignit d’une musique d’orgue et de voix qui le gardait éveillé la nuit.
Pour étudier le problème, John Marke, ingénieur électricien, et Allan Jenkins, chimiste industriel, connectèrent un soir des électrodes aux murs du pub, après la fermeture.
Ils envoyèrent 20.000 volts dans les électrodes et enfermèrent des enregistreurs dans la pièce pendant quatre heures. Lorsque les bandes furent analysées, il fut constaté qu’elles avaient enregistré des voix parlant en vieux gallois, de la musique d’orgue, et le tic-tac d’une horloge. Il se fait qu’il n’y avait pas d’horloge dans la salle à cette époque. Il a été suggéré que les pierres du mur contenaient des substances semblables à celles qui se trouvent dans les bandes d’enregistrement actuelles.

Tom C. Lethbridge – Le Pouvoir du Pendule – Le spectre de fréquence de la réalité, les autres dimensions, et la mémoire de l’eau.

Un chat se rend chaque jour sur la tombe de son maître

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Article source: jack35.wordpress.com

Un chat se rend quotidiennement sur la tombe de son défunt maître en Italie. Et l’animal ne vient jamais pas les pattes vides. Chaque jour, le félin apporte un nouveau « cadeau » à celui qui l’avait adopté.

L’histoire émouvante de Toldo, le chat qui ne se remet pas de la mort de son maître, nous est relatée par le quotidien italien Le Corriere Fiorentino. Plus d’un an après le décès de Renzo Iozzelli, le petit chat n’a pas oublié celui qui l’avait recueilli sur le bord d’une route il y a trois ans de cela alors qu’il n’était qu’un chaton.Renzo Iozzelli est décédé en septembre 2001 et depuis son fidèle compagnon ne passe pas un seul jour sans se rendre sur sa tombe. Chaque jour, le petit animal amène un nouveau cadeau qu’il dépose sur la pierre tombale. Mouchoirs en papier, rameau d’acacia, brindilles, gobelets en plastique ou autres objets trouvés, Toldo ne vient jamais les pattes vides.

 

De quoi émouvoir les habitants du village de Montagnana en Toscane qui ont fait de cet animal au grand coeur leur nouvelle mascotte.

(Source : 7s7)

Fantôme filmé pendant un contrôle de radioactivité dans un vieux tunnel au Japon ? (vidéo)

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Article source: jack35.wordpress.com

Une apparition incroyable d’un fantôme  lors d’une visite de vieux tunnels de la seconde guerre mondiale dans les montagnes du Japon.

  »La caméra a commencé à devenir folle au niveau inférieur des tunnels », dit le vice-président principal de cette société  « des PVE (phénomène de voix électronique) ont été capturés sur la bande pendant qu’ont filmer. Si vous écoutez très attentivement, vous pouvez entendre une voix disant « plus proche », une ou deux fois pendant la vidéo, je précise que ces tunnels ne sont pas ouverts au public. »

Un petit groupe d’ingénieurs avaient été envoyés dans ces tunnels afin de tester les niveaux de radiation dans des tunnels qui sont à plusieurs miles des réacteurs de Fukushima qui fuyaient, la partie la plus profonde du tunnel est à environ 450 mètres en dessous de la surface  et peut être atteint par plusieurs étapes avec des toboggans en bois menant vers le bas. Ces tunnels ont été utilisés à des fins d’exploitation minière avant que le Japon les utilisent à des fins de seconde guerre mondiale.

Les niveaux de rayonnement dans les tunnels ont été détectés en très petites quantités, et non nocifs pour les humains, mais peut être suffisamment élevé pour susciter les esprits des soldats d’un passé lointain ?

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Vidéo youtube

Mise en ligne le 30 mars 2011

An incredible ghost apparition was caugh on tape this week during a visit to old WWII tunnels in the mountains of Japan. The camera started to go crazy and was malfunctioning at the lower level of the tunnels. Strange EVP’s ( Electronic voice phenomenon ) were caught on tape during the filiming. If you listen very closely, you can hear a voice saying « closer » , a couple of times during the video. These tunnels are not open to the public . This week a small group of engineers were sent into these old WWII tunnels to test radiation levels. The tunnels are several miles away from the leaking reactors. The deepest part of the tunnel is approx 1500 ft into the ground and can be reached via several steps and wooden slides leading to the bottom. These tunnels were used for mining purposes before Japan used them for WWII purposes. Radiation levels in the tunnels were detected in very small amounts, not harmful to humans, but high enough to arouse spirits of soldiers from a distant past.

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