OANI/OVNI Enquête, méthode, réflexion pour commencer 2016

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Sylvain Matisse Crédit: éditions Saint-Martin ©Sylvain Matisse
Crédit: éditions Saint-Martin
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Tout d’abord meilleurs vœux à toutes et à tous pour cette nouvelle année.

2016 commence avec l’arrivée du livre de Sylvain livrant une partie de ses travaux et réflexions pour son premier ouvrage.

Afin de vous donner une idée du contenu voici cette petite vidéo réalisée par les éditions Saint-martin .

Vous pouvez dès à présent commander ce livre ici

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Mise à jour Area 51 blogue , le : 02/01/2016 à : 17h30.

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Pierre qui croule, oratoire et Griffe du diable à Uchon

(D’après « Revue de Bourgogne » paru en 1911)

Au milieu du XIXe siècle, la « pierre qui croule » d’Uchon, galet de granit de huit mètres de large et de 2 mètres 30 de haut, pesant plus de 20 tonnes et situé à l’orée du bois d’Escrots, jouissait d’une propriété curieuse, celle d’osciller du nord au sud à la moindre pression. C’était mystérieux et divertissant.

Les savants expliquaient déjà prosaïquement le phénomène : la « pierre qui croule » et son support, appartenant à la catégorie des granits porphyroïdes tendant à se décomposer, les parties exposées aux intempéries, depuis des siècles, s’effritèrent peu à peu. Seuls, les points de contact échappant à cette décomposition, formèrent un pivot naturel qui, par sa position légèrement oblique, permettait un déplacement facile du centre de gravité.

Mais pour les habitants, la « pierre qui croule » était auréolée de surnaturel. Les anciens, paraît-il, la consultaient comme un oracle, et leurs descendants, vigilants gardiens des traditions ancestrales, la prenaient encore pour arbitre. Seulement, par une singularité de leur nature, ils l’avaient transformée en juge spécialiste de la fidélité conjugale.

 La "Pierre qui croule" à Uchon


La « Pierre qui croule » à Uchon

Quelque mari jaloux concevait-il des doutes sur la sagesse de son épouse ? Il l’amenait de gré ou de force à la « pierre qui croule ». Et là, de son doigt tremblant, l’inculpée devait mettre le juge en mouvement. Le nombre des oscillations fixait, sans erreur possible, le soupçonneux conjoint sur son bonheur ou son infortune.

Que de drames, que de comédies se jouèrent à l’ombre du rocher ! Les bonnes langues disent même que certaines villageoises à l’âme inquiète venaient en cachette s’exercer à risquer l’épreuve. Néanmoins, la « pierre qui croule » était la terreur des petites Morvandelles à tête folle, la bête noire aussi de tous les coqs de village. Une longue rancune s’amassait contre elle et devait, tôt ou tard, causer sa perte.

C’est en l’année 1869 que l’événement survint. Mortifiés par les méfaits de la pierre, naïvement curieux, surtout, d’en connaître le secret, les gars du pays, par un beau matin, s’acheminèrent au bois d’Escrots avec des cordes, une paire de bœufs et des leviers solides. Ils arrivent, lient étroitement le roc et attellent les bœufs à la corde. Puis, les leviers posés, l’attaque commence dans un effort combiné de pesées et de tractions. Comme surprise d’abord, la pierre vacille désespérément, mais résiste. Et c’est en vain que, tendue par les bœufs, la corde grince ; c’est en vain que les hommes halètent dans une poussée rageuse : le bloc les nargue et paraît inébranlable.

Alors les assaillants se piquent au jeu. On court chercher du renfort, l’attelage est doublé, l’assaut recommence furieux. Cette fois, la pierre, lasse de tant d’affronts, après une oscillation suprême, quitte son pivot, se déplace de quelques pouces et se condamne pour toujours à l’immobilité. Ce fut tout ! Une bande de niais venait, en une heure, de détruire l’œuvre patiente des siècles. A présent, rien n’est changé.

Le roc est toujours là, énorme sur son socle de granit. Mais, ne l’interrogez plus, son âme est absente. Absente ? En est-on sûr ? Arc-boutez-vous contre la pierre ; imprimez-lui une secousse et vous la sentirez tressaillir. Un rien, peut-être lui rendrait la vie, et quelque puissant vérin, prudemment secondé par des coins mis à propos, suffirait sans doute à rétablir l’oracle.

Un peu plus bas que l’église, à une centaine de mètres de celle-ci, l’oratoire présente un singulier aspect. Il est une sorte de guérite en pierres de taille ouverte d’un côté, et dont les parois latérales construites en encorbellement sont ornées de deux petites niches en accolades. On y accède par quatre marches disjointes, mais sa toiture en pinacle se compose de moellons bien équarris et d’une conservation parfaite. La croix, déposée à l’intérieur, remplace une stèle à tablette circulaire d’un usage indéterminé, provenant sans doute du château. Le pinacle lui-même était probablement amorti par une croix monumentale, car de tout temps l’édicule porta le nom de Belle-Croix.

 L’église d’Uchon


L’église d’Uchon

Son histoire est intéressante. Les seigneurs d’Uchon gardaient jalousement, paraît-il, dans leur chapelle, quelques ossements de saint Sébastien. Or, saint Sébastien, comme on le sait, détournait la peste. Ses statues s’étaient multipliées au XVe et XVIe siècles dans nos églises de campagne, lorsque le fléau grandissant menaçait de devenir endémique. Autun fut, à maintes reprises, particulièrement éprouvé, et les habitants se rendirent plus d’une fois, au cours du XVIe et du XVIIe siècle, en pèlerinage aux reliques d’Uchon.

L’affluence était grande et l’église trop étroite. Aussi s’avisa-t-on de construire, au XVIe siècle, le petit édifice de Belle-Croix, afin que le prêtre y célébrât la messe et que tous les pèlerins pussent y assister en plein air. La chronique rapporte qu’en 1637, « sous la conduite de leur évêque, Messire Claude de la Magdelaine, 4 500 pèlerins d’Autun passèrent la planche de Mesvres » pour monter à Uchon. Et toute la région suivait l’exemple. Saint-Nizier, Montcenis, Luzy, Blanzy, Saint-Bérain, Charmoy, Arnay-le-Duc, venaient à tour de rôle prier saint Sébastien, chaque fois que la peste faisait de nouvelles victimes. Les habitants de Montcenis, même, offrirent longtemps en reconnaissance, à l’église d’Uchon, un pain bénit le lendemain de la Trinité.

Une après-midi suffit à l’excursion de la montagne rocheuse. Elle n’est d’ailleurs pas éloignée du village. Mais, quel étrange spectacle ! On a comme une impression de chaos. Il semble que ces blocs ont été projetés là, en de bizarres amoncellements, par des Titans en délire. On admire et on a le cœur serré devant ce bouleversement de la nature sur un sol aride et escarpé. Ces masses de granit grisâtres affectent les formes les plus hétéroclites. Imaginez-les en silhouette sur une demi-clarté lunaire, projetant leurs grandes ombres et vous aurez le décor le plus fantastique qu’il soit donné de rêver.

Ici, un sphinx pose éternellement son énigme ; plus bas, un monstrueux éléphant paraît s’être couché complaisamment pour présenter sa croupe aux visiteurs. Voyez cette grotte : longtemps elle servit d’asile à une pauvre vieille qui inspirait à tous crainte et respect. Sa demeure a conservé le nom de Celle aux fas (fas pour fées). Plus loin, c’est la chambre du loup de la Gravelière qui garde encore un mauvais renom. D’autres anfractuosités prêtent moins à la légende. Les tapis de plumes de volailles et de perdrix qui en garnissent l’entrée dénoncent assez les repaires du renard, le damné rôdeur de la montagne. Tout en haut dominent les amas gigantesques de la Ravière arrondis et patinés par le temps. Et, comme pour ajouter un attrait au paysage, certaines cavités circulaires ou elliptiques auxquelles on donne le nom d’écuelles ou de bassins, se rencontrent à la surface de gros blocs ; elles affectent la forme d’une demi-sphère concave ou la disposition de sièges.

Les savants expliquent la présence des écuelles et chaises d’Uchon par l’action des premiers rayons du soleil sur l’eau congelée dans quelques dépressions naturelles qui se creusent ainsi progressivement. Mais les pâtres y voient tout autre chose. S’ils jouent sur les rochers tant que le soleil brille, ils s’en éloignent avec crainte dès que la nuit tombe. Des êtres fallots, croient-ils, farfadets et lutins, rôdent dans ces solitudes, s’installent dans les fauteuils de granit, se baignent dans les bassins, hantent les grottes, agitent les pierres dans l’ombre.

Rochers à Uchon

Rochers à Uchon

Au fait, voici la griffe du Diable qui n’est rien moins que rassurante. C’est une roche haute de trois mètres et mesurant douze mètres de tour, tombée, on ne sait comment, en équilibre sur un socle. Elle porte dans ses flancs une large empreinte produite par des érosions naturelles et qui ressemble à une griffe colossale. A ses pieds, l’amoncellement des pierres donne l’impression d’un caméléon apocalyptique préposé à sa garde.Comment une pareille mise en scène n’inspirerait-elle pas la légende ? Et celle que l’on conte est si vieille, qu’elle est, depuis bien longtemps, reçue dans la tradition. Pour Uchon, c’est de l’histoire. L’action se perd dans la nuit des temps, mais on sait qu’elle se passait à l’époque lointaine où les habitants de Toulon avaient décidé de jeter, sur l’Arroux, un solide pont de pierre. On procédait alors à peu près comme aujourd’hui, et plusieurs concurrents briguaient l’adjudication des travaux. Or, si le prix proposé paraissait rémunérateur, les conditions étaient dures. L’une d’elles notamment, plus dangereuse, fixait, pour l’achèvement du pont, un délai trop court à dire d’experts. L’inexécution de cette dernière clause entraînait retenue de la moitié du paiement.

Effrayés par ces exigences, les entrepreneurs d’alentour s’étaient retirés les uns après les autres, peu soucieux de risquer la ruine pour un gain peut-être illusoire. Un jour, survint à Toulon une sorte d’aventurier, maître maçon ambulant, comme il s’en trouvait au Moyen Age, habile de son métier, d’ailleurs, et confiant en son expérience. D’où venait-il ? Du Nord, croit-on. Il menait à sa remorque une gracieuse enfant, sa fille, à qui de grands yeux bleus dans un visage pâle auréolé de cheveux d’or donnaient un charme indéfinissable.

A peine arrivé, le maçon s’enquiert. Il apprend qu’un pont est à construire, examine les charges imposées, et, plus audacieux que ses confrères, prend l’engagement de livrer le travail en temps voulu. Il se met à l’œuvre, engage ses ouvriers et pousse activement les travaux. Cependant, le temps presse et bien que l’arcade soit menée bon train sur ses étais habilement combinés, voici venir la veille de l’échéance fixée pour la livraison du pont, et, par une erreur incompréhensible, la clef de voûte manque. Il faudrait une énorme pierre pour combler le vide et parachever l’œuvre.

Où la trouver ? On n’en connaît pas sur place ; Uchon seule pourrait la fournir. Mais Uchon n’est pas proche et le transport d’une telle masse, si tant est qu’il soit possible, exigerait plusieurs jours. Le maçon perdra-t-il donc le bénéfice de son industrie ? Le pauvre homme se désespère et s’arrache les cheveux. Au demeurant, il n’était point dévot et plutôt que d’invoquer le secours du Ciel : « Holà ! s’écrie-t-il, Messire Satan, venez à mon aide, et vous n’en serez point leurré. » Rarement le diable se mêle ostensiblement des affaires des hommes. Il n’en finirait plus de répondre à tous les mécréants qui l’invoquent. Mais il a parfois son idée et se montre quand il lui sied.

La "Pierre qui croule" à Uchon

La « Pierre qui croule » à Uchon

Cette fois, Satan mûrissait un projet. Ce maître en laideur et en corruption voyait d’un œil haineux croître en sagesse et en beauté la fille du constructeur. Rebelle à ses instigations, la belle enfant nourrissait en son cœur l’amour le plus chaste pour un brave garçon qui secondait son père avec intelligence. Le jeune homme, violemment épris de ses charmes lui avait demandé sa main et tous deux, fiancés désormais, n’attendaient que l’achèvement de l’entreprise pour obtenir le consentement paternel.Trop favorable était l’occasion, le diable parut. Dans sa hâte, il n’avait pas pris le temps de se donner une apparence décente. Aussi n’était-il pas beau ! Sa longue tête grimaçante, ornée d’une barbe de bouc, d’oreilles de loup et de deux cornes sinistres, ballottait sur un corps noir efflanqué, de stature colossale. Ses pieds et ses mains se terminaient en griffes, et, sur son dos, deux longues ailes nervées comme celles des vampires, se repliaient, au repos, avec un bruit de papier froissé. « Or ça ! tu réclames mes services ? Je suis à toi, bonhomme ; mais rien pour rien, à bon entendeur salut ! »

Puis, de sa voix tantôt rauque, tantôt glapissante : « Je vois d’ici, parmi les roches d’Uchon, la pierre qui, sans équarrissage, sera ta clé de voûte. Demain je te la baillerai avant l’aurore. » Tremblant, d’abord, et médusé par la frayeur, le maçon s’était ressaisi. L’appât du gain l’endurcissait. « Oui bien, fit-il, mais qu’exigerez-vous en échange ? Mon âme, peut-être ? – Ton âme ne vaut pas qu’on se dérange. Non, ce qu’il me faut, c’est ta fille. – Ma fille ? vous plaisantez, elle n’a point seize ans ! – Il me la faut, te dis-je, ou tire-toi d’affaire. »

Certes, le constructeur n’était pas un père modèle, mais la prétention du diable lui parut si monstrueuse, qu’il résista longtemps. Cependant, Satan voulait sa proie. Tantôt persuasif, tantôt menaçant, il fit tant et si bien que le malheureux père, grisé par ses promesses de fortune, se laissa tenter. Au bout d’une heure, il apposait sa signature sur le contrat livrant sa fille au diable, à condition que la clé de voûte lui serait apportée secrètement la nuit suivante, avant que le coq n’eût chanté. Satan avait partie gagnée. Satisfait, il étendit ses ailes et prit son vol en ricanant. A peine eut-il franchi l’horizon qu’un homme effaré surgit d’un buisson et prit sa course vers la ville. C’était le triste fiancé, involontaire témoin du marché criminel qui allait briser sa vie.

Haletant, il accourt près de la jeune fille, et lui conte tout ce qu’il vient de voir et d’entendre. Terrorisés, les pauvres enfants vont se jeter aux pieds de la Madone. Et soudain, le jeune homme se relève, une inspiration lui vient. Sans perdre une minute, il se munit d’un sac, glisse au fond le coq le mieux gorgé du bourg et s’élance vers le pays d’Uchon. Cinq lieues l’en séparent, mais le danger lui donne des ailes. Avant minuit, il atteint le sommet de la montagne et se blottit contre un rocher. La nuit est belle, la lune étend partout ses rayons blafards. Bientôt, un gigantesque oiseau de nuit grossit dans le ciel et vient planer sur la montagne. Il tournoie, descend et s’abat sur une roche comme un vautour sur sa proie.

  La Griffe du diable


La Griffe du diable

C’est Satan. Il saisit le bloc entre ses griffes et, de nouveau, s’élève dans les airs. De sa cachette, le jeune homme a tout vu. Prestement, il tire du sac le coq endormi, le secoue et, bien en face de la lune, le perche sur le roc. Réveillé en pleine nuit, le chanteur matinal s’imagine voir l’aurore, et, de sa voix la plus claironnante, jette vers le ciel son cri de triomphe. Tout aussitôt déchire l’espace un affreux blasphème répercuté par les échos de la montagne. Dupe de l’ingénieux fiancé, Satan croit son marché rompu. Ses griffes se détendent, ses bras s’ouvrent et le rocher fend les airs pour retomber avec fracas sur le granit qui, depuis lors, lui sert de piédestal.Telle était la dureté de la pierre, que le choc ne la brisa point ; mais, la griffe du diable, brillant des ardeurs de l’enfer, s’y était incrustée. L’empreinte en est visible et demeure en témoignage de l’histoire. Vainement, au point du jour, le constructeur attendit sa clé de voûte. Satan fut infidèle et le maçon encourut la déchéance. Mais, tandis qu’il se lamentait, vinrent à lui les deux fiancés. La joie qui rayonnait sur leur visage avait assez d’éloquence. Et comprenant enfin son ignominie, le père dénaturé implora son pardon. Ici se termine le récit.

 Source VIA France Pittoresque.com

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Mise à jour Paranormal à la une le 10-12-2014 à 15h40

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Il rencontre un ange « rouge » en Ouganda

Source : Ufologie et Paranormal 

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En 1995, entre Kinyara et Kitanosie (en Ouganda), un habitant a vécu une expérience qu’il n’est pas prêt d’oublier. Alors qu’il rentrait chez lui, il rencontra une immense créature ailée, s’apparentant à un ange, en plein milieu d’un champ …

Un homme, qui a tenu à garder l’anonymat, marchait en direction de sa maison à travers des champs de canne à sucre lorsqu’il fut brusquement stoppé dans sa marche par un violent courant d’air. C’est là qu’apparu, juste devant lui, une énorme créature ailée. Cette dernière avait la peau rouge, ainsi que des cheveux blonds, bouclés et brillants. Il paraissait posséder une sorte de halo au-dessus de sa tête.

A cette époque-là, la canne à sucre n’avait pas été coupée depuis de nombreuses années, et les plants atteignaient jusqu’à 16 pieds de haut. Ainsi notre témoin pu estimer approximativement la taille de cette créature. Selon lui, elle mesurait 12 pieds de hauteur et il jugea que c’était la plus belle chose qu’il n’avait jamais vu de toute son existence. Il remarqua qu’elle possédait plusieurs paires de côtes supplémentaires par rapport aux êtres humains.

De plus, ses jambes étaient velues et ses pieds étaient remplacés par des sabots. La créature « angélique » se tenait à environ 60 pieds de notre témoin médusé. L’être dégageait une lumière très puissante. Cela donnait l’impression qu’il était entouré d’une magnifique auréole.

Téméraire, et alors qu’ils se trouvaient en face-à-face depuis 5 minutes, notre témoin tendit sa main en direction de cet ange. C’est là, qu’il reçut un message télépathique, de nature religieuse, visant à alerter l’humanité quant à son avenir.

Après lui avoir transmis son message, « l’Ange Rouge » se retourna, déploya ses grandes ailes et disparu à travers l’épaisse forêt de cannes à sucre. Perturbé par cette rencontre extraordinaire, notre homme reprit sa marche vers son domicile. Après avoir parcouru environ 140 mètres, il vit derechef l’ange rouge. Ce dernier se tenait debout à 30 pieds de distance de notre témoin. Ils se regardèrent quelques minutes, avant que l’humanoïde ailé ne disparaisse définitivement …

Source – 11 avril 2014

Via

Ufologie et Paranormal 

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Mise à Jour Paranormal à la Une le 13/04/2014 à 22 h 15

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En même temps que son coeur… on ma greffé son âme

Que se passe-t-il en cas de transplantation cardiaque, lorsque le cœur d’une autre bat dans votre poitrine ? L’aventure bouleversante vécue par l’actrice Charlotte Valandrey, et racontée dans son dernier livre, laisse entrevoir l’existence d’étranges ponts entre morts et vivants…

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C’est une impression terrifiante. Charlotte fonce en voiture au cœur de la nuit, sous une pluie battante. A l’une de ses mains, crispée sur le volant, brille une bague. Mais soudain des phares l’aveuglent, elle perd le contrôle, elle ressent un choc terrible ! Et c’est à cet instant qu’elle se réveille en âge dans ses draps. Ce n’était qu’un cauchemar. Charlotte, c’est l’actrice Charlotte Valandrey, l’interprète de Myriam dans la série « Les Cordiers, juge et flic ».

Cette nuit de décembre 2005, elle peine à retrouver le sommeil après son rêve. Des visions lui reviennent en mémoire, obsédantes. La voiture dans laquelle elle se trouvait n’était pas la sienne. Et cette bague qu’elle portait au doigt, juste avant le crash, elle n’en a jamais eu de semblable. Quel sens trouver à ces images ? En ont-elles seulement un ?

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ELLE REVIT A SEPT REPRISES LA SCENE DE L’ACCIDENT

A l’époque, la comédienne file le parfait amour avec un médecin. Elle savoure d’autant plus ce bonheur qu’elle est deux fois miraculée : non seulement elle survit depuis une vingtaine d’années au virus du SIDA mais, deux ans plu tôt, on lui a greffé avec succès un cœur. Sa carrière professionnelle s’en ressent. Etre séropositive et transplantée cardiaque, ce ne sont pas les meilleurs atouts pour se présenter à un casting. Et l’ex-petite prodige du cinéma français, révélée par le film Rouge Baiser, de Véra Valmont, a du mal à décrocher de nouveaux rôles. Mais Charlotte Valandrey est une battante, et un seul sourire de sa fille de 5 ans, Tara, suffit à lui faire trouver la vie magnifique. Quelques jours passent. Puis Charlotte fait le même cauchemar. Et ce n’est pas fini : elle va revivre à sept reprises, dans son sommeil, la scène terrible de l’accident… Dans le même temps, elle constate d’étranges changements dans son comportement. Elle qui n’a jamais bu de vin se met subitement à apprécier le bordeaux. Et alors qu’elle a toujours détesté la tarte au citron et les babas au rhum, voilà qu’elle ne peut plus s’en passer ! Mais le plus étrange se produit lors d’un voyage en Inde qu’elle fait en compagnie de son amie d’enfance, Lili

« J’Y ETAIS DEJA VENUE AVANT, DANS UNE AUTRE VIE… »

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Les deux femmes visitent le célèbre Taj Mahal, et Charlotte, dont c’est pourtant le premier voyage à Agra, a soudain l’impression que l’endroit lui est familier. « Je connaissais ce lieu, affirme-telle. J’y étais déjà venue avant, dans une autre vie ou dans un rêve… »

La suite est encore plus troublante. Alors que les deux amies s’approchent du mausolée de marbre blanc, Charlotte propose à Lili d’aller voir le fleuve qui coule derrière le monument, en contrebas. Or le fleuve, de là où elles se trouvent, est invisible, et ne figure même pas sur leur guide. Un phénomène de voyance ? Non. Charlotte en est persuadée : c’est son cœur greffé, le cœur de « l’autre », qui parle maintenant en elle, et qui se souvient. A priori, cette idée d’un cœur transplanté qui garderait la mémoire de sa vie antérieure semble relever de la science-fiction. De retour à Paris, l’actrice consulte des revues médicales spécialisées. Et ce qu’elle découvre est sidérant. Il existe bien un phénomène que les scientifiques appellent la « mémoire cellulaire ». Les explications sont très techniques. En résumé, les cellules du cœur stockeraient des images, des sensations, des goûts de la personne pour laquelle il bat.

QUI EST CETTE INCONNUE DONT LA MORT L’A SAUVEE ?

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Rien n’a encore été formellement prouvé, mais des études menées aux Etats-Unis laissent apparaître plusieurs cas stupéfiants. Par la suite, après une transplantation, ces mêmes cellules pourraient envoyer les souvenirs du donneur dans le cerveau du receveur, où ils referaient surface… Une femme aurait eu la révélation, en rêve, du nom et du prénom de son donneur. Et une petite fille aurait « vu », dans un cauchemar, la scène au cours de laquelle son donneur avait été assassiné. Pourquoi la bague, l’accident de voiture, la visite au Taj Mahal ne viendraient pas de cette femme don t le cœur a sauvé la vie de Charlotte Valandrey ? Dans son premier livre, L’Amour dans le sang, l’actrice a raconté en détail cette transplantation de la dernière chance… Cela remonte à l’automne 2003. Charlotte suit alors, depuis des années, une trithérapie destinée à lutter contre le SIDA. Elle est fatigu&ea cute;e, son ventre se gonfle, son souffle est court. Verdict des médecins : le cœur est à bout de souffle. Sans une greffe, c’est la mort. Dans la nuit du 3 au 4 novembre, le téléphone sonne. Charlotte est attendue d’urgence à l’hôpital Saint-Paul, un établissement parisien réputé pour son service de cardiologie. On vient d’y recevoir un cœur compatible…

Le lendemain, après des heures d’opérations, elle se réveille avec l’organe d’une autre personne dans la poitrine. Qui ? Elle l’ignore et ne pose pas encore la question. Car le combat est loin d’être gagné. Durant des mois, le risque de rejet est réel. Mais par bonheur, Charlotte Valandrey recouvre la santé.

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Charlotte Valandrey chez Ruquier (On n‘est pas couché) le 13 octobre 2012

Mais à présent, deux ans plus tard, ses cauchemars récurrents la conduisent à s’interroger : qui est cette inconnue dont la mort l’a sauvée ? Il lui semble que le seul moyen de se libérer de ses rêves affreux est de mettre un nom et un visage sur cette femme. Elle se rend donc à l’hôpital Saint-Paul. Mais les médecins lui opposent le secret médical. Impossible, depuis la loi de bioéthique de 2004, de fournir le nom d’un donneur d’organe. Tout au plus apprend-elle, par un cardiologue du service, qu’un cœur a été prélevé sur une accidentée de la circulation, dans la nuit du 3 au 4 novembre 2003. C’est peu. Mais la fidèle Lili, qui participe à l’enquête, trouve un indice supplémentaire dans les archives duParisien. Un article relate un accident mortel qui s’est déroulé cette nuit-là, place de la Nation, dans le 12e arrondissement, durant un gros orage :

« Un livreur a perdu le contrôle de son camion et percuté violemment un véhicule de marque Audi qui roulait en sens inverse. La conductrice, une femme de 30 ans, médecin, a été transportée dans le coma à l’hôpital Saint-Paul où elle a succombé à ses blessures. »

Charlotte se rend au commissariat du 12e, où l’on refuse, là encore, de lui donner le nom de la victime. Retour à la case départ. Mais le destin veille. Une lettre va bouleverser sa vie.

« JE CONNAIS LE CŒUR QUI BAT EN VOUS »

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Le courrier, qui lui a été adressé chez son éditeur, Le Cherche midi, a tout de la lettre anonyme rédigée en lettres bâtons. Mais nulle menace, nul chantage. Le « corbeau » n’a rien d’autre à exprimer que son immense chagrin…

« Chère Charlotte, je connais le cœur qui bat en vous, je l’aimais. Je n’ai pas le droit de vous contacter, mais je ne peux me résoudre au silence… Lorsque j’ai accepté que le cœur de mon épouse soit prélevé pour sauver une autre vie, je ne pensais pas connaître un jour l’identité de l’être receveur… »

C’est qu’entre-temps, il y a eu ce livre, L’Amour dans le sang, dans lequel Charlotte Valandrey raconte sa greffe, dans la nuit du 3 au 4 novembre 2003. L’auteur de la lettre n’a eu qu’à faire le rapprochement, à son tour, entre l’accident de sa femme et la transplantation. C’est un homme inconsolable qui termine sa lettre par un post-scriptum destiné directement à son épouse morte : « Si jamais tu me lis, tu me manques douloureusement à chaque instant, j’hésite à te rejoindre. » Quelques semaines plus tard, Charlotte reçoit une deuxième lettre. « Je suis heureux de voir toutes ces images qui vous montrent en si bonne forme, écrit le mystérieux correspondant. Ma femme avait 29 ans. Lorsque je suis arrivé à l’hôpital, son corps vivait encore mais la mort cérébrale venait d’être déclarée. Voulez-vous sauver d’autres vies ? M’a-t-on demandé. J’ai dit oui. Ma femme était généreuse, elle croyait à la réincarnation. J’aimerais vous dire que j’admire votre courage et que ma femme est sûrement heureuse de vous avoir redonné la vie. »

« JE VAIS ARRÊTER DE VOUS ECRIRE… »

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On devine l’émotion de l’actrice, et son envie d’en savoir plus sur cette inconnue que son mari continue d’aimer par-delà la tombe. Mais la lettre ne présente aucun indice qui permettrait de remonter jusqu’à son auteur… Charlotte ne peut en déduire que peu de chose : l’homme habite Paris ou la région parisienne, il s’exprime dans un français parfait et écrit sur un papier rare que l’on ne trouve que dans certaines papeteries spécialisées… A tout hasard, elle en fait le tour, questionnant les vendeurs. Mais elle rentre bredouille. La troisième lettre anonyme que < /span>Charlotte reçoit met fin à ses derniers espoirs. « Je vais arrêter de vous écrire, lui annonce son correspondant. Je ne veux pas la confusion des sentiments… Je partirai bientôt à l’étranger pour quelques années. » Il n’y aura pas d’autre courriers.

Fin 2006, enfin une bonne nouvelle : Charlotte a été choisie pour jouer dans la pièce de théâtre, La Mémoire de l’eau, de Shelag Stephensen, dans une mise en scène de Bernard Murat.

« UNE ROMANESQUE INTERVENTION DU DESTIN »

Le titre semble un clin d’œil du destin pour cette femme qui vit dans l’obsession de la « mémoire cellulaire ». Mais en commençant les répétitions, Charlotte est loin d’imaginer que ce rôle va lui permettre, de la manière la plus incroyable qui soit, de percer le mystère qui lui empoisonne la vie…

« DANS SA LOGE, DES BOUQUETS DE VIOLETTES »

violettes

Le soir de la première représentation, au Petit Théâtre de Paris, la pièce est longuement applaudie. Un succès. De retour dans sa loge, Charlotte trouve un bouquet de violettes.

C’est un homme qui me l’a remis pour toi, lui dit son habilleuse. Impossible de le convaincre de venir te saluer. Timide mais beau, très bel homme… Dans les jours qui suivent, le mystérieux admirateur dépose six autres bouquets de violettes, sans jamais se montrer. Puis, un soir, alors qu’elle est en train de se démaquiller après le spectacle, Charlotte entend la voix de son habilleuse dans le couloir :

Mais si, venez, insiste-t-elle, je suis sûre que cela lui fera plaisir !

« C’EST UN COUP DE FOUDRE PARTAGE »

La porte s’ouvre et la comédienne se trouve face à un grand type, la quarantaine élégante, manifestement intimidé. Un peu plus tard, elle apprend que cet admirateur s’appelle Yann, qu’il est architecte, en instance de divorce. De part et d’autre, c’est un coup de foudre. Quelques jours plus tard, alors que la pièce a quitté l’affiche, Yann emmène Charlotte à Rome, pour le week-end. Un séjour de rêve dans un vieux palace, « La nuit fut superbe », écrit-elle sobrement, après leur première étreinte. De retour à Paris, la com&eacut e;dienne découvre la maison de Yann, aux Buttes-Chaumont, dans le 19e arrondissement. Une maison à la décoration contemporaine qui n’abrite qu’un meuble ancien, un secrétaire indien au bois patiné par les ans. L’architecte, qui a des chantiers à Berlin, s’absente souvent, mais cela ne donne que plus de saveur à leurs retrouvailles. Un matin, alors qu’elle paresse au lit, Charlotte entend le portable de Yann sonner dans le secrétaire indien. Mais elle ne peut le prendre, le meuble est fermé. Quelques minutes plus tard, Yann l’appelle…

Je n’aurais pas oublié mon téléphone ? Demande-t-il.

Si, il est dans le secrétaire. Dis-moi où est la clé et je te l’apporterai à l’heure du déjeuner

Mais Yann, après un silence embarrassé, refuse, prétextant qu’il peut se passer de son appareil jusqu’au soir. Il n’en faut pas plus pour inquiéter l’actrice… Pourquoi ce secrétaire est-il toujours fermé à clef ? Que renferme-t-il donc de si mystérieux ?

« QUE CACHE LE MEUBLE FERME A CLE ? »

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L’actrice, après quelques recherches, finit par trouver la clé, pendue à un clou derrière le meuble. Elle ouvre. Et elle découvre d’abord une photo sur laquelle Yann est en compagnie d’une jolie femme brune, devant le Taj Mahal. « Voilà donc la femme dont il a divorcé », pense-t-elle. Puis son regar d accroche une pochette rouge portant une simple date : « 4/11/03 », intriguée, Charlotte regarde ce qu’elle contient. C’est un document à en-tête de l’hôpital Saint-Paul. Un certificat de décès au nom de Virginie, daté du 4 novembre 2003. A côté, une coupure de presse du Parisien relatant l’accident de la place de la Nation.

« UNE BOULEVERSANTE DECOUVERTE »

Et Charlotte Valandrey, abasourdie, comprend. Les lettres anonymes, les bouquets de violettes : Yann est le mari de Virginie, celle qui lui a donné son cœur. Les mains tremblantes, elle s’enfuit en se répétant : « Yann m’a menti, il a menti… » Quelques semaines plus tard, l’architecte part en Australie pour son travail et Charlotte, encore bouleversée par sa découverte, est victime d’un infarctus dont elle sera sauvée de justesse…

Laissons au lecteur curieux le soin de découvrir par lui-même la suite de l’histoire, et les dernières pages de cette incroyable aventure, digne d’un roman, que constitue le nouveau livre de Charlotte Valandrey. Un récit qui, s’il semble défier la raison, montre l’infini de l’amour et la puissance du destin.

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Source- Magazine Horoscope n°740 de novembre 2011

Via La Taverne de l’Etrange

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Mise à jour Paranormal à la Une le 22 Janvier 2014  à 19 heures 20  

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Dolmen en Quercy

Le dolmen de la Pierre Martine. Source : http://vivreenquercy.canalblog.com/

Le dolmen de la Pierre Martine.
Source : http://vivreenquercy.canalblog.com/

 

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Note Administration

Dimanche 23 juin 2013  à 14 h 45

Poursuivons avec Gilles Thomas « l’aventure » des minutes de l’étrange avec cette fois-ci une connotation celte.

Si la vidéo ne fonctionne pas cliquez ici

 

gif engrenage

 

 

Mise à jour Paranormal à la Une le 23 juin 2013 à 14 h 45

 

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Paranormal Nord – Pas-de-Calais (2/3) : maisons hantées, entre mythe et réalité

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Les maisons hantées. Si, dans le Nord – Pas-de-Calais, on pense spontanément à celle de Villeneuve-d’Ascq), nombre de villes ou villages ont leur propre bâtisse maudite. Et bien sûr dès que l’on touche au paranormal, les rumeurs vont bon train, même si parfois, elles ne sont vraisemblablement que rumeurs. Tandis que d’autres maisons ont un passé bien tragique. L’une des variables essentielles pour qualifier une maison de « hantée ». Quant à démêler le mythe de la réalité… Après notre retour à Mentque-Nortbécourt la semaine dernière, c’est le deuxième volet de Paranormal Nord – Pas-de-Calais (*).

C‘est la maison hantée la plus célèbre de la région. Voire même l’une des plus connues de France. Elle a déjà eu les honneurs de plusieurs médias (télévision, écrits ou web). Sur le net, d’ailleurs, tapez maison hantée dans Google, vous tomberez forcément dessus. Je suis, je suis Hem-Villeneuve-d’Ascq bien sûr (elle est située sur le territoire de la ville nouvelle, mais couramment attribuée à Hem). Une bâtisse construite dans les années 30 dans laquelle un enfant de 5 ans serait mort mystérieusement il y a quelques années… Histoire tragique qui aurait eu des répercussions bien au-delà de la famille. Plusieurs locataires auraient occupé cette maison. Prenant tous leurs jambes à leurs cous au bout de quelques mois, voire même y mourant dans des conditions étranges… Des ouvriers y effectuant quelques menues rénovations auraient eu la désagréable surprise de retrouver la maçonnerie endommagée après une nuit de sommeil. Jusqu’au rachat dernièrement de la maison par une assemblée évangélique…

La maison Hantée de Villeneuve-d’Ascq par andersonxxxx

Si la vidéo ne fonctionne pas cliquez ici

A BÉTHUNE, UNE JEUNE FILLE SE PEND, UNE FAMILLE OBSERVE DES PHÉNOMÈNES ÉTRANGES

Maison hantée. Le terme peut faire frissonner voire sourire. Mais rarement laisser indifférent. Car que l’on croit au phénomène ou non, peu de gens s’aventureraient à acheter – ou habiter – une maison au passé sulfureux. A moins de vouloir faire une très bonne affaire financière. Il y a quelques années, le très sérieuxLibération avait même consacré une page au sujet en interrogeant quelques spécialistes de l’immobilier. C’est dire… A Mentque-Nortbécourt, où nous étions la semaine dernière, on se doute que la maison va peut-être avoir du mal à être relouée dans l’immédiat. Bref, il y en a que ça ne fait pas sourire, loin de là.

Autre personne que les maisons hantées ne font pas sourire : l’une des sommités régionales  sur le sujet, Bernard Coussée, par exemple. Le président du Cercle d’études mythologiques est l’auteur de plusieurs livres sur les mythes et légendes du Nord – Pas-de-Calais (quelques-uns sont publiés chez De Borée, retrouvez également la liste complète sur Wikipedia). « Personne n’est fou dans ces histoires, nous confiait-il il y a quelques semaines. J’ai recueilli de nombreux témoignages et je peux vous dire que les gens sont sains d’esprit. Et de profils sociologiques tout à fait variés. Mais je fais un travail d’enquête car il faut bien sûr prendre beaucoup de précautions sur ces sujets. » Il rappelle ainsi l’histoire d’une maison béthunoise. Entre 1968 et 1977, une famille vivra des événements étranges. Tour à tour, les membres de la famille apercevront un homme se baladant. Le chat est constamment effrayé. L’horloge ne fonctionne pas… Juste dans cette maison bien sûr. Le mari fait une dépression. Et avant de quitter la maison, comme d’autres jeunes couples qui avaient vécu ici avant, ils apprendront qu’une jeune fille s’était pendue ici-même des années auparavant…

Lire la suite sur le site source Dailynord 

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Mise à jour par Era pour Paranormal à la Une le 21-5-2013 à 06h 15

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Montivilliers – Loups-garous. Ces bêtes de légendes en Normandie

La revue Patrimoine normand consacre un dossier aux loups-garous et autres bêtes féroces qui auraient erré en Normandie. L’historien Stéphane William Gondoin part sur leurs traces.

Les forêts normandes abritent-elles des secrets et des bêtes sauvages ? ©Stéphane William Gondoin.

La légende de la bête du Gévaudan a la canine dure. L’animal mystérieux aurait tué, entre 1764 et 1767, plus d’une centaine de personnes en Lozère. Le mythe continue de hanter les esprits. Il n’en fallait pas davantage pour intriguer l’historien de Seine-Maritime, Stéphane William Gondoin, qui consacre un dossier à ce thème :

« Il existe quantité de bêtes du Gévaudan partout en France, et donc aussi en Normandie. Les cas ont simplement été moins “médiatisés” que celui du Gévaudan, et occultés par lui. »

Dans les premiers temps de la chrétienté, l’Église considère cette croyance comme la trace persistante  du paganisme. Seul Dieu décide du sort de l’homme et aucun être ne peut se métamorphoser sans intervention divine, donc les loups-garous ne sauraient exister : 
L’archevêque de Rouen, Saint Ouen, fait pour sa part allusion au pouvoir présumé de la lune : « Dieu a fait la lune pour marquer les temps et tempérer mes ténèbres de la nuit (…) et non pour rendre les hommes fous, comme les sots le pensent, eux qui croient que les démoniaques souffrent à cause de la lune.»»

Dans la forêt des Cinglais, près de Caen, mais aussi à Évreux…

Des récits d’attaques de bêtes jalonnent l’histoire normande :

« Au moins deux cas sont connus, l’un dans la forêt de Cinglais (au-dessous de Caen) puis la forêt d’Évreux dans les années 1632-1634 et un autre dans l’Eure, dans les années 1710. Là, il ne s’agit pas de légendes, mais de faits biens réels : des gens se sont fait croquer. » 
Stéphane William Gondoin évoque aussi une rencontre que le Duc de Normandie Richard II aurait faite : « un bref texte datant de la charnière des XVes et XVIessiècles prête au duc une rencontre peu amicale avec un mort vivant nommé “Gargarouf”‘»

Une légende au pied du pont de Tancarville

La légende la plus proche serait celle de Saint-Samson-de-la-Roque (Eure), au pied du pont de Tancarville :

« L’évêque de Dol (de Bretagne), Saint Samson, passe pour avoir triomphé d’un dragon qui terrorisait les habitants de l’estuaire de la Seine au VIe siècle. »

D’autres récits de varous, vocable par lequel on désigne les loups-garous en Normandie, sont recensés, mais sans faits réels pour venir les étayer. Amateurs de légendes et de sensations fortes, promenez-vous sur les terres normandes et traquez l’étrange. 
Non loin du Havre, s’élevait naguère un mégalithe au carrefour de la Pierre Grise, entre Montivilliers et Saint-Martin-du-Manoir : « Le lieu était fréquenté par des dames blanches. Qui sait si elles n’y dansaient pas avec quelque sorcier un brin varou ? » Brhhh, on frissonne déjà.

  • Infos pratiques : 

    Patrimoine normand, N°84

    Disponible dans les (bonnes) librairies. Prix : 6,75 euros.

Source : 76actu.fr

gif rampe de flammes

Mise à Jour Era pour Paranormal à la Une le 10-5-2013 à 1 heure

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Maisons hantées et fantômes : récits en Haute-Normandie

Les murs auraient une mémoire et conserveraient le souvenir de leurs habitants. On connaît l’Écosse pour ses fantômes mais la Normandie abrite aussi quelques récits à frissonner…

Fantômes, âmes errantes et esprits frappeurs ont élu domicile en Normandie (©Fotolia).

Fantômes, âmes errantes et esprits frappeurs ont élu domicile en Normandie (©Fotolia).

Qu’on les appelle entités, esprits ou fantômes, les âmes hanteraient des lieux dont les murs auraient conservé la mémoire. Légende ou réalité ? Qu’on y croit ou pas, nombreux sont les récits qui rapportent des phénomènes étranges et angoissants observés ou ressentis par des humains. C’est à un gendarme que l’on doit une véritable étude des phénomènes de hantises. Le gendarme Émile Tizané rapporta ainsi de nombreux cas de hantises et de poltergeists, dans Le mystère des maisons hantées (1977) marchant sur les pas de Camille Flammarion qui avait déjà écrit son ouvrage Les maisons hantées. Aujourd’hui,  des centres sur le paranormal dans les universités se penchent sur ces manifestations étranges qui viennent rompre l’harmonie d’un lieu. Récemment, un petit village du Nord s’est rendu célèbre pour les phénomènes étranges qui se sont déroulés dans un pavillon de Mentque-Nortbécourt.

Découvrir le reportage de France3 Nord-Pas-de-Calais, ici :

Âmes errantes et esprits au Havre

Les phénomènes observés sont divers : déplacements d’objets, courants d’air froid, bruits dont la source demeure non-identifiée, apparitions… autant de manifestations recensées et de témoignages recueillis. Le Havre n’échappe pas à cette tradition des hantises. Il existe plusieurs sites hantés dans la ville, mais, souvent, leurs propriétaires préfèrent demeurer muets sur ces habitants d’un autre-monde qui pourraient faire fuir tout acheteur potentiel. Si les témoignages recueillis et entendus rapportent des phénomènes, peu nombreux sont les témoins qui parlent sans honte. Jean-Michel Harel a néanmoins rassemblé ces contes et légendes dansVisite du Havre des légendes et coutumes, un recueil de 42 pages, trace des visites guidées effectuées autrefois par le Havrais, consultable à la bibliothèque Armand Salacrou du Havre, évoquant ainsi les étranges récits de la cité. Au Havre, plusieurs lieux auraient été hantés : une maison du quartier Saint-Vincent aurait abrité des Haïtiens qui auraient pratiqué le Vaudou.

« Toute la côte est très marquée sur le plan spirituel ; ce qui pourrait expliquer les récits qui entourent certains sites : on dit que l’église Saint-Michel D’ingouville abriterait un secret caché dans une tombe diabolique. De même, revenants et briseurs de vitres auraient rôdé près de la côté d’Ingouville », indique Jean-Michel Harel.

Voilà qui fait froid dans le dos.

Des forces et présences observées en centre-ville

Parmi les nombreux récits qui circulent, il en est un qui rappelle les plus mauvais films d’angoisse : un tunnel abriterait une force que certains ressentiraient lors du passage en voiture. Le tunnel, en question, c’est celui de Jenner : un lieu connu de tous, inscrit dans la ville, assurant la liaison entre ville haute et ville basse. Alors, légende urbaine ou expérience extra-sensorielle, des récits ont été recueillis et certains voyageurs, traversant ce passage, auraient observé des phénomènes étranges. Ils rapportent avoir ressenti comme une force les poussant à accélérer à la sortie du tunnel. Des actes incontrôlés qui pourraient conduire à l’accident, voire à la mort. Qui vient donc hanter ce lieu de passage ? Qui sont ces revenants et ces forces présentes dans le lieu ? Souvent, ce sont les lieux liés à la mort qui sont le théâtre de phénomènes étranges.

Le pavillon des revenants

Le bâtiment disparu, mais autrefois implanté rue maréchal Joffre, que l’on a coutume d’appeler le pavillon des revenants, est un lieu qui a « glacé les sangs de nombreux Havrais » :

« Ce bâtiment effrayait les Havrais : on disait y avoir entendu des bruits de chaînes et vu des fantômes en train de descendre les escaliers », confie Jean-Michel Harel.

Même si les lieux où se produisent de tels phénomènes sont souvent flous, des zones sont identifiées dans la ville : le quartier de l’ancien hôpital Flaubert serait, par exemple, fortement exposé à des présences d’outre-tombe.

Des quartiers hantés par des fantômes

Certains rapportent avoir ressenti des présences dans leur appartement, entendu des bruits et martèlement dans les plafonds, tous les soirs, à heure fixe. Les ampoules auraient éclaté, en même temps, dans un même immeuble, mais dans des appartements différents. Synchronicité, hasard ou hantises ? Comble de l’effroi : des chuchotements et murmures auraient été entendus, alors que toute absence humaine avait été constatée. Une habitante rapporte même avoir retrouvé une trace de main sur un placard de cuisine situé en hauteur : nul n’aurait pu l’atteindre sans escabeau. Aux Gobelins, une bête aurait erré rue d’Epremesnil, non loin de la mare au cercueil, où ledit tombeau entouré de torches se présentait aux passants, invités à soulever le couvercle. Le geste accompli, un bruit monstrueux retentissait, puis rien. Mystère ou fantasme ? Les fantômes ont la peau dure et leurs récits résistent au temps !

Un cas de Poltergeist à Danton, au Havre

C'est dans le quartier Danton, dans un café-restaurant, qu'eut lieu un cas de poltergeist.

C’est dans le quartier Danton, dans un café-restaurant, qu’eut lieu un cas de poltergeist.

Un cas de hantise est bien connu des Havrais versant dans les histoires insolites : un restaurant du quartier Danton aurait été le théâtre de phénomènes étranges dans les années 1970. Un célèbre ouvrage de René Le Tenneur, Magie, sorcellerie et fantastique en Normandie. Des premiers hommes à nos jours, rapporte le récit d’un cas d’esprit frappeur (traduction française de l’allemand Poltergeist, terme bien connu grâce au film éponyme de Tobe Hooper) qui aurait hanté un restaurant du quartier Danton. Dans les années 70, ce café-restaurant aurait été bouleversé par des phénomènes inexpliqués qui se produisaient dans les lieux…

Couverts et verres volaient

Le Tenneur rapporte dans ses écrits que les « assiettes, vitres et verres se brisaient spontanément ». De même, phénomène on ne peut plus impressionnant : les fourchettes quittaient les tables, volant dans la salle de restaurant et risquant de blesser quelqu’un. Les bouteilles, paraît-il, se promenaient au plafond et les objets se projetaient contre les murs ou passaient à travers les vitres. Pour couronner le tout, trois départs d’incendie auraient eu lieu dans la cuisine, sans raisons apparentes. Les phénomènes auraient débuté avec l’arrivée d’un ouvrier anglais, Harold, venu effectuer des travaux de peinture avec son fils de 14 ans.

Un adolescent à l’origine des manifestations

Ce serait ce jeune adolescent qui aurait été le support à la manifestation : un cas de poltergeist classique où les adolescents jouent souvent un rôle. Une fois le garçonnet éloigné, tout rentra dans l’ordre et les étranges vols de couverts et bris de verres ne se reproduisirent pas. Alors que ces événements avaient effrayé la clientèle et que cette histoire de hantise contribuait à la mauvaise réputation de l’établissement, Harold, acteur malgré lui de ces étranges phénomènes générés par sa progéniture, s’étonna de la réaction des Français face au surnaturel : « C’est curieux, ici, les gens se sauvent. Chez nous, en pareil cas, ils auraient fait la queue devant la porte. » Est-ce là la trace d’un héritage so british qui a fait des histoires de fantômes un élément patrimonial ? Peut-être, mais au Havre, ce lieu reste non identifié :  détruit aujourd’hui, il aurait été situé en face du café Le Parloir. Info ou intox ? Le récit demeure et perdure au-delà du temps, signe de la mémoire des murs ?

Un cas célèbre à Dieppe

Outre les loups-garous croisés sur nos terres de légendes, d’autres villes et sites normands abritent des histoires de hantises et phénomènes d’apparitions. Le récit des deux Anglaises à Dieppe est l’un des plus célèbres de la côte normande.
Le 4 août 1951, à Puys, près des plages de Dieppe, alors qu’elles étaient en vacances, Dorothy Naughton et sa belle-sœur, Agnès, se sont retrouvées au beau milieu d’une bataille fantôme. Elles ont été réveillées à 4h du matin par des coups de feu et des hurlements. Durant trois heures, elles sont restées assises et horrifiées, observant une bataille au cours de laquelle les avions ont bombardé la ville balnéaire. Dix ans plus tôt, c’est au même endroit que s’était déroulée l’opération Jubilee, conçue par l’amiral Louis Mountbatten. La bataille de Dieppe fut un tragique échec pour les Alliés. Les deux Anglaises auraient revécu cette épisode tragique de l’histoire, assistant dix ans plus tard à cette bataille. Rêve, projection ? Des fantômes hantent-ils les côtes dieppoises ?

L’abbaye de Mortemer

L'abbaye de Mortemer hantée et exorcisée en 1921 (©Jonathan/Fotolia).

L’abbaye de Mortemer hantée et exorcisée en 1921 (©Jonathan/Fotolia).

Depuis plus de 80 ans, Mortemer est un lieu hanté. Nul ne cache l’histoire et les contes et légendes abrités par les lieux.

« Simple légende, la Garrache, cette femme louve apparue en 1884 à Roger Saborreau ? Mathilde, la dame blanche, femme et rêve la fois, où bien encore, les fantômes des quatre moines massacrés sous la Révolution ? La population refuse d’y croire mais la rumeur y fait sans cesse référence. »

L’Abbaye a été exorcisée en 1921. Aujourd’hui encore, il arrive que les lignes téléphoniques se mélangent, le courant subit des baisses de tension inexplicables malgré les travaux effectués et la venue de spécialistes. Les lieux se visitent encore et sont toujours imprégnés de ces mystérieux épisodes. Si vous vous égarez sur ce magnifique site, qui sait ? Peut-être y croiserez-vous la diaphane Dame blanche, errant toujours sur les traces du passé ?

Laissez-vous tenter par la découverte de ces lieux et quartiers. Les mystères n’appartiennent pas qu’à l’Écosse. Nous avons, nous aussi, nos fantômes !

  • Et vous, croyez-vous aux fantômes ? Avez-vous déjà été témoins de phénomènes paranormaux ? Racontez-nous !
 
Auteur : Solène Bertrand – journaliste à Le Havre Infos – Source : http://www.76actu.fr
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Mise à Jour par Era pour Paranormal à la Une le 10-5-2013 à 00 h 47

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Maison « hantée » de Mentque-Nortbécourt : les locataires à l’hôpital après de nouveaux « phénomènes »

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Note Era Admin le 14-4-2013 à 14:45

Cette information nous est envoyée par un de nos lecteurs (un autre Sylvain) , que nous remercions. Source : France3 Nord Pas de Calais

 

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Un nouvel épisode est survenu, mardi, dans l’affaire de la maison prétendument « hantée » de Mentque-Nortbécourt. Les locataires ont été hospitalisés après avoir été frappés par des « chaises qui volent ». La mairie cherche à les reloger.

 France3 Nord Pas de Calais  – YF avec Alice Rougerie   Publié le 12/04/2013 | 14:56

Les locataires, hospitalisés, ont fui la maison prétendument &quot;hantée&quot; © France 3 Nord Pas-de-Calais
© France 3 Nord Pas-de-Calais Les locataires, hospitalisés, ont fui la maison prétendument « hantée »

Il y a quelques jours nous vous parlions de cette histoire de fermette prétendument « hantée » dans le village de Mentque-Nortbécourt, près de Saint-Omer. Mardi soir, un nouvel épisode s’est produit. Les trois locataires ont été conduits à l’hôpital après avoir été victimes, disent-ils, de nouvelles manifestations surnaturelles. Selon eux, des chaises auraient volé, blessant au crâne l’un d’entre eux. Tous ont été pris en charge, sous le choc, par les pompiers.

Reportage d’Alice Rougerie et Benoît Bugnicourt.

Depuis mardi, donc, les volets de la maison sont restés fermés. Dans le village – qui compte près de 600 habitants – certains ont bien du mal à croire à ces histoires d' »esprit frappeur »« Ils vont faire devenir tout le monde cinglé avec ça« , s’énerve un voisin. « Il n’y a jamais eu de problème avant, je ne vois pas pourquoi il y en aurait maintenant« .

Une maison entièrement rénovée il y a deux ans

Reste le témoignage du maire du village, Jean-Marie Béclin, qui dit avoir été lui mêmetémoin de ces phénomènes à l’intérieur de la maison : une orange qui traverse une pièce, des chaises qui volent ou bien encore des cailloux en lévitation.

Le propriétaire de la maison, entièrement rénovée il y a deux ans, n’apprécie pas du tout cette mauvaise publicité. Selon lui, le problème est ailleurs. « Depuis qu’elle a été mise en location il y a une douzaine d’années, aucun locataire ne s’est plaint« , affirme-t-il. « Lorsque les locataires actuels sont venus visiter la maison, ils nous ont dit qu’ils avaient rencontré les mêmes problèmes avant« .

Hallucination collective ou farce de mauvais goût ? La mairie, en tout cas, cherche à reloger les trois locataires, aujourd’hui ressortis de l’hôpital. Une demande a été envoyée en urgence à la sous-préfecture de Saint-Omer.

 

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Mise à jour par Era pour Paranormal à la Une le 14-4-2013 à 14:45

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Andrew Carlssin – Voyage dans le temps et délits d’initiés

Source Image : http://www.allvoices.com/contributed-news/9347413-andrew-carlssin-the-man-who-claimed-to-come-from-the-year-2256

Source Image :  Allvoices.com/contributed-news/9347413-andrew-carlssin-the-man-who-claimed-to-come-from-the-year-2256

Qui n’a jamais imaginé pouvoir voyager dans le futur et revenir dans le présent avec toutes les informations nécessaires pour faire fortune en un clin d’œil ? Il suffit de jouer les bons numéros au loto, d’acheter les actions qui vont flamber…

Dans la série des voyageurs temporels célèbres, Andrew Carlssin vient juste après l’indétrônable John Titor. Cet énigmatique boursicoteur qui a amassé des sommes énormes prétend débarquer directement de l’an 2256!

Retour vers le futur… 2256

Andrew Carlssin escorté en prison par des agents du  FBI agents en janvier 2003


Andrew Carlssin escorté en prison par des agents du FBI agents en janvier 2003 Source de l’image Ufodigest.com

En 2003 ,le FBI a arrêté Andrew Carlssin, âgé de 44 ans et surnommé par la presse « le magicien de Wall Street », pour délits d’initiés. Grâce à un investissement initial de seulement 800 $, Carlssin a bâti une fortune personnelle de plus de 350 millions de dollars en seulement deux semaines!

Selon les sources fédérales américaines, toutes ses transactions étaient risquées, mais se sont avérées fructueuses, Cette richesse soudaine a soulevé la suspicion de la Security and Exchange Commission, qui a demandé au FBI de diligenter une enquête. Le FBI et la Commission de Sécurité de la Bourse de new York ont simplement indiqué qu’il était difficile de croire qu’il s’agissait de coïncidences ou de pure chance…

Andrew Carlssin, lui, explique son phénoménal succès sur les marchés boursiers : J’ai voyagé dans le temps, je viens de 2256 , un futur où les connaissances relatives à la volatilité du marché boursier sont maîtrisées. C’était vraiment trop tentant, je n’ai pas pu résister » aurait-il expliqué dans sa confession enregistrée sur bande vidéo, qui semble difficile , voire impossible, à visionner… Selon le Verbatim obtenu via des sources informelles, Andrew Carlssin poursuit : « J’avais prévu de perdre un peu ici et là, pour ne pas éveiller les soupçons… Maintenant, tout ce que je veux, c’est retourner d’où je viens »

Cependant, il a refusé de révéler l’emplacement de sa machine à voyager dans le temps « par peur que cette technologie ne tombe dans de mauvaises mains ».

Les agents fédéraux étaient persuadés que Carlssin était un escroc génial, mais n’ont pas pensé un seul instant accord quelque crédit que ce soit à « ses affabulations » : « Nous ne croyons pas l’histoire de ce type – c’est soit un fou soit un menteur pathologique », explique un initié de la SEC… Pourtant, le FBI reconnaît qu’«il n’y a aucune trace d’un Carlssin Andrew avant Décembre 2002 (NDLR : date de sa première transaction officielle) ». Aucun fichier n’a trouvé de correspondances, même sous d’autres identités.Son analyse ADN n’a rien donné…Avant 2003, tout indique que Andrew Carlssin n’avait aucune existence officielle.

En échange de sa libération, Andrew Carlssin aurait offert de divulguer des «faits historiques» comme la date de l’arrestation d’Oussama Ben Laden et celle où un remède contre le sida a été (aurait été, sera ?) mis au point …

Une mystèrieuse disparition

C’est là que l’histoire prend une tournure étrange et qu’elle rejoint une autre histoire similaire dont nous vous rendions compte il y a peu (lien vers mon article : Téléportation – L’étrange histoire du soldat Gil Perez). Alors qu’il se trouvait en prison, attendant d’être à nouveau interrogé sur son histoire, Carlssin a tout simplement disparu. Ce qui est encore plus surprenant, c’est que l’histoire a aussi disparu. Aucun journal , aucun reportage, aucun média n’a fait suite à cette histoire originale. La SEC et le FBI refusent même de reconnaître l’arrestation de Carlssin !

Andrew Carlssin serait bel et bien vivant , mais personne ne sait où …, ni quand… A-t-il signé un accord avec les autorités américaines ?

La seule explication que nos connaissances actuelles peuvent raisonnablement prendre en considération est la suivante : les sources d’informations de Carlssin étaient illégales. Mais les experts du FBI et de la SEC n’ont pas pu le prouver…

Alors simple escroc astucieux ou authentique « Time traveler » ?

Source : Besoin de Savoir.com

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Mise à jour par Era pour Paranormal à la Une le 7-4-2013 à 13 heures

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